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dimanche 21 juin 2009

Pas besoin d'un autre plan de relance, selon Jean-Claude Trichet

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Jean-Claude Tichet, Président de la Banque Centrale Européenne
Photo:REUTERS/Kacper Pempel, 5 juin 2009
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PARIS (Reuters) - Aucun plan de relance supplémentaire n'est nécessaire pour retrouver la croissance économique en 2010 mais les mesures de la communauté internationale doivent être appliquées rapidement, estime dimanche le président de la Banque centrale européenne (BCE).

Les primes de risques entre banques sont revenues au niveau qui existait avant la faillite de la banque américaine Lehman Brothers le 15 septembre dernier, a ajouté Jean-Claude Trichet sur Europe 1.

Ce retour d'une certaine confiance entre les banques est une preuve que "le marché fonctionne mieux" selon lui.

"L'effort qui a été fait est à la mesure du défi qui nous était lancé. (...) Aucun élément supplémentaire n'est nécessaire."

Jean-Claude Trichet a répété que la reprise se ferait en 2010, "à condition que nous fassions tous ensemble ce qui a été lucidement décidé par la communauté internationale (...) de manière aussi rapide que possible".

Pour le président de la BCE, "le premier trimestre a été très mauvais, mais les trimestres suivants seront moins mauvais, jusqu'à une fin d'année qui devrait nous conduire à peu près à la stabilité en termes d'activité".

"Nous devrions enregistrer la reprise de l'activité positive dans le courant de l'année prochaine", a-t-il répété, précisant qu'il y avait sur le sujet un très large consensus entre les prévisionnistes de la BCE, du Fonds monétaire international (FMI) et de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique).

"Beaucoup dépend de l'énergie avec laquelle nous allons mettre en oeuvre ce qui a été décidé", a-t-il conclu.
Clément Guillou, édité par Jean-Stéphane Brosse
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L'article posté ci-dessus provient de Reuters.

mercredi 29 avril 2009

Capitalisme et pulsion de mort

Il s'agit du dernier livre de Gilles Dostaler et Bernard Maris, Éditions Albin Michel, 2009, 170 pages.
En avant-propos, les auteurs déclarent:
« "Fuite vers la liquidité", "soif inextinguible de liquidité", "désir morbide de liquidité", comment qualifier autrement la demande angoissée des banques et des institutions financières aujourd'hui, au milieu de la tempête boursière qu,elles ont déchaînée, parce qu,elles étaient mues par une cupidité insatiable, un désir d'argent infini ? Mais l'expression "désir morbide de liquidité" ne nous appartient pas, elle fut inventée par Keynes, et elle renvoie à la pulsion de mort découverte par Freud. Keynes pensait que les banques avaient joué un rôle majeur dans la genèse de la crise de 1929, qui conduisit l'humanité à un désastre. Et voilà que les choses recommencent. Certes, les hommes ont une mémoire et les banques centrales injectent aujourd'hui dans le monde des centaines et des centaines de milliards de dollars et d'euros pour revitaliser une économie mondiale menacée d'effondrement... À nouveau le capitalisme , par sa course effrénée au profit, son désir toujours intense d'accumulation, a libéré ce qui est enfoui au plus profond de lui-même et le meut de toute son énergie: la pulsion de mort. Ce que nous croyions être la "momdialisation heureuse" n'était que la démesure de l'argent fou et sa pulsion destructrice...»
Bernard Maris est agrégé d'économie, journaliste et connu pour ses talents de polémistes.
Gilles Dostaler est un spécialiste de l'histoire de la pensée économique.
Table des matières
Avant-propos
Prologue
1. Freud et la pulsion de mort
2. Keynes et le désir de l'argent
3. Freud et Keynes aujourd'hui
Épilogue. Au-delà du capitalisme
Annexe. Bloomsbury et la psychanalyse
Remerciements
Bibliographie
Capitalisme et pulsion de mort est un livre à lire.

Les démons du capitalisme, pourquoi la crise et comment s'en sortir

Il s'agit du dernier livre d'Alain Dubuc, Les Éditions Voix Parallèles, 2009.
L'auteur est économiste de formation et chroniqueur à La Presse.
On le connaît pour sa rigueur, sa politesse, son franc-parler, son style simple et clair.
La table des matières se résume ainsi:
Introduction (pages 5-8)
Première partie: Les origines de la crise (pages 9-66)
1.- La mondialisation (pages 11-23)
2.- L'internationalisation des capitaux (pages 25-38)
3.- Le délire américain (pages 39-51)
4.- La dictature des marchés (pages 53-66)
Deuxième partie: La crise (pages 67-143)
5.- La grande crise financière (pages 69-83)
6.- La crise boursière (pages 85-98)
7.- Les mots pour le dire (pages 99-112)
8.- La récession mondiale (pages 113-127)
9.- L'exception canadienne et le miracle québécois (pages 129-143)
Troisième partie: Les conséquences (pages 145-212)
10.- Les sorties de secours (pages 141-162)
11.- La maladie du capitalisme (pages 161-173)
12.- Un nouvel ordre mondial ? (pages 175-187)
13 Un monde différent ? (pages 189-200)
14 Vers une société plus juste (pages 201-212)
Conclusion: Un message pour l'avenir (pages 213-215)
Annexe: Chronolgie de la crise financière (pages 217-222)
Il s'agit d'un ouvrage de vulgarisation qui tente d'expliquer les causes et la mécanique de la crise mondiale.
Il décrit le choc boursier et la récession actuelle.
Il tire propose enfin de tirer des leçons pour l'avenir. Écoutez-le:
« ... C'est d'abord le monde financier qui nous a entraînés dans cette débâcle. Sa domination sur la vie économique lui a permis d'imposer sa logique, celle de la spéculation et de l'appât du gain. Si l'on en retient la leçon, cela devrait nous ramener à une conception plus traditionnelle de l'économie, qui repose sur des valeurs comme la récompense du travail et les vertus de l'épargne. Et surtout, cela nous permettra de redécouvrir l'importance primordiale de l'économie réelle, qui doit avoir préséance sur le monde virtuel de la finance ... »
C'est un livre à lire absolument.

jeudi 26 mars 2009

France/Crise financière/ Un décret interdira les stock-options dans les sociétés aidées

Source: Reuters, jeudi 26 mars, 2009
Par Laure Bretton et Emile Picy
Édité par Gilles Trequesser

Le gouvernement prendra un décret la semaine prochaine pour interdire les stock-options et les bonus dans les entreprises aidées directement par l'Etat, a annoncé le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant.
Le Premier ministre, François Fillon, a confirmé à la presse que le décret serait publié "en début de semaine" prochaine.
Nicolas Sarkozy a réuni mercredi soir le Premier ministre et les principaux dirigeants de la majorité pour évoquer ce sujet qui défraye la chronique en période de crise économique, plusieurs entreprises aidées ayant récemment octroyé à leurs patrons des stock-options ou des "parachutes dorés".
"Le décret va être pris la semaine prochaine pour fixer les conditions dans lesquelles est interdite l'allocation de stock-options ou d'autres avantages et bonus lorsque des entreprises bénéficient du soutien de l'Etat", a dit Claude Guéant sur France 24.
Selon un participant à la réunion mercredi soir à l'Elysée, la décision sera prise avant mardi, date-butoir fixée par le chef de l'Etat au patronat français pour qu'il lui fasse des propositions, un ultimatum rejeté par le Medef.
Face à ce refus, Nicolas Sarkozy est décidé à agir rapidement en traitant dans un premier temps le cas des entreprises en difficulté qui reçoivent l'aide de l'Etat, ce qui exclut la voie législative, jugée trop lente.
Cela se fera "sur une base réglementaire", a déclaré le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre. "Pour les entreprises aidées a priori, (...), il n'y a pas besoin de base législative, une base réglementaire suffit", a-t-il expliqué sur France Info.
"Il n'est pas question que l'argent des contribuables serve à ce que certains patrons ou cadres dirigeants récupèrent pour eux-mêmes de l'argent. C'est totalement interdit, cela le sera", a-t-il souligné.
LES PATRONS DE GDF SUEZ RENONCENT
La méthode de la majorité consisterait à introduire dans les conventions signées par l'Etat avec les entreprises aidées, par le biais d'un texte réglementaire tel qu'un décret, des éléments relatifs aux rémunérations de leurs dirigeants et mandataires sociaux.
Sur la base d'un décret, on pourra "mettre des avenants" dans les conventions qui ont été signées entre l'Etat et les entreprises. Pour celles qui n'en ont pas, il faudra "faire des conventions", a ajouté Frédéric Lefebvre.
Le 31 mars, "c'était la date-butoir qui avait été fixée au patronat pour nous donner sa réponse. il se trouve que sa réponse est d'ailleurs arrivée hier", a-t-il expliqué.
La présidente du Medef, Laurence Parisot, a estimé mercredi que le code de bonne conduite adopté à l'automne suffisait et qu'elle n'était pas en mesure d'aller au-delà.
De son côté, le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, le socialiste Didier Migaud, a regretté que le décret soit préféré à la loi.
"Je trouve que la loi est toujours préférable au décret", a-t-il dit à Reuters. "La loi peut être prise de façon aussi rapide qu'un décret puisque nous avons le collectif budgétaire qui est en navette et, dans le collectif, il y a un article qui permet d'apporter un certain nombre de précisions lorsqu'une entreprise est aidée par l'Etat."
En pleine polémique sur la rémunération des patrons français, GDF Suez a annoncé jeudi que ses dirigeants Gérard Mestrallet et Jean-François Cirelli renonçaient à leurs stock-options d'un montant de 1,1 million d'euros.
Le groupe a précisé que 4,4 millions d'actions gratuites seraient versées à l'ensemble des salariés.
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http://fr.news.yahoo.com/4/20090326/tts-france-patrons-remunerations-ca02f96.html
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lundi 9 mars 2009

Jean-Claude Trichet : l'économie mondiale se rapproche "du moment de la reprise"

Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet
Photo: Reuters
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Source: NOUVELOBS.COM 09.03.2009 15:31
Jean-Claude Trichet estime que la croissance mondiale devrait être proche de zéro en 2009, avec une "reprise" en 2010 et précise que les "éléments positifs" n'ont pas été pris en compte.
Le porte-parole des dix grandes banques centrales mondiales (G-10) Jean-Claude Trichet a affirmé, lundi 9 mars lors d'une conférence de presse à Bâle, que l'économie mondiale se rapproche "du moment de la reprise"."Nous nous approchons du moment où il y aura une reprise", a-t-il déclaré, à l'issue de la réunion bimestrielle du G-10 au siège de la Banque des règlements internationaux (BRI)."
La plupart des observateurs s'attendent à une croissance négative pour les pays industrialisés" cette année, a-t-il relevé.

Une reprise en 2010
La croissance mondiale devrait être proche de zéro en 2009, avec une "reprise" en 2010, a précisé Jean-Claude Trichet, par ailleurs président de la Banque centrale européenne.Les éléments "positifs" --les mesures prises par les différents gouvernements pour contrer la crise économique et la baisse du prix du pétrole-- "n'ont pas totalement été pris en compte" pour l'heure, a-t-il poursuivi."
Il y a un très fort engagement des autorités, des gouvernements à ne pas laisser sombrer des institutions d'importance systémique", ce qui représente "un très fort engagement qui n'a pas été totalement pris en compte par les marchés", selon Jean-Claude Trichet.

"Combattre le protectionnisme"
Les incertitudes qui demeurent renforcent cependant "le manque de confiance", qui est à l'origine de la crise économique, a-t-il précisé, ajoutant que tout devait être entrepris pour la rétablir.Face aux annonces dans plusieurs pays de plans de relance pour des secteurs industriels touchés par le ralentissement économique, Jean-Claude Trichet a rappelé l'importance de "combattre le protectionnisme" et de conclure "avec succès" les négociations du cycle de Doha, qui patine depuis huit ans, sur la libéralisation des échanges commerciaux.
Jean-Claude Trichet a également salué le rôle des banques centrales qui ont "été extraordinairement actives à organiser une ligne de défense en mettant des liquidités à disposition" des marchés.
"Extrêmement efficaces"
Les instituts d'émission ont été "extrêmement efficaces", a-t-il ajouté. Depuis plusieurs mois, les banque centrales, et notamment la BCE, abreuvent les marchés monétaires en liquidités afin d'éviter une pénurie du crédit, car les banques rechignent à se prêter entre elles.
Le Fonds monétaire international (FMI) table sur une croissance mondiale de seulement 0,5% cette année et 3,0% en 2010.
Les chef d'Etat et de gouvernement du G20 -- pays rassemblant les principales économies développées et en développement de la planète -- doivent se réunir le 2 avril à Londres pour débattre des issues à la crise financière.
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//L'article ci-dessus provient du lien ci-dessous:
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jeudi 19 février 2009

Jean-Claude Trichet (BCE) plaide pour une surveillance financière "rigoureuse"

Source: LaTribune.fr

Le président de la Banque centrale européenne (BCE) a estimé ce lundi qu'un renforcement de la surveillance financière s'imposait, dans la mesure où la crise économique, se propageant, n'épargne pas non plus les plus puissantes économies de la planète.

"Le FMI doit améliorer sa surveillance, y compris sa surveillance financière, surtout pour ce qui concerne les pays importants d'un point de vue systémique", a déclaré le président de la BCE devant le parlement européen. "Pendant longtemps, nous nous sommes concentrés sur la surveillance des économies émergentes et en développement, tandis que les économies industrielles elles-mêmes se considéraient comme étant largement étanches aux conseils internationaux", a-t-il poursuivi.
"La crise nous donne une dure leçon qui est que les économies industrielles ont aussi besoin de surveillance, et de fait d'une surveillance rigoureuse. Toutes les institutions et forums internationaux devraient réfléchir sur les moyens de renforcer leur surveillance et son efficacité à précipiter les adaptations nécessaires", a plaidé l'ancien patron de la Banque de France.
Par ailleurs, il a estimé, dans un entretien publié par China Finance, que la Banque centrale européenne devait se préparer à être confrontée "à des situations exceptionnelles", et n'a pas exclu de nouvelles initiatives pour soutenir l'économie de la zone euro. "Je n'exclus rien mais je ne prends pas d'engagement a priori non plus", a-t-il expliqué. "Nous considèrerons toujours une situation à la lumière de notre propre analyse, en prenant tout en compte".
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//Lien vers l'article de LaTribune.fr:
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20090216trib000344659/jean-claude-trichet-bce-plaide-pour-une-surveillance-financiere-rigoureuse.html
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Pour Dominique Strauss-Kahn (FMI), il faut poursuivre l'assainissement financier

Source: LaTribune.fr

Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, a estimé ce mardi sur France Inter qu'il fallait intensifier les plans de soutien aux banques et la coordination internationale sous peine de voir la crise durer. Et il a appelé à "arrêter toute distribution de dividendes" des banques aidées par les Etats et à sanctionner les dirigeants des établissements financiers à l'origine de la crise.


"Le système financier dans le monde entier n'est pas encore sain et du coup les effets de la relance ne sont pas suffisamment importants", a affirmé ce mardi matin, sur France Inter, l'ancien ministre français et actuel directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, ajoutant que "l'organisation la régulation mais aussi la sortie de crise doivent avancer du même pas" à la réunion de chefs d'Etat du G20 du 2 avril. L'"année 2009 va être difficile" et la sortie de crise n'est pas à attendre avant "début 2010 si on fait tout comme il faut", alors que dans le cas contraire, elle "va durer", a-t-il prévenu.


Les Etats ont "suivi" les recommandations du FMI sur la question des plans de relance de l'économie réelle même si "l'ampleur manque un peu au Japon, en Europe, dans certains autres pays", mais c'est surtout du côté des banques que le bât blesse, juge le patron du FMI. "Il faut aller jusqu'au bout du nettoyage du bilan des banques", qui ne "se met pas en place assez vite", a-t-il ajouté.


Il a admis qu'il était "paradoxal" de dépenser des centaines de milliards de dollars pour sauver des banques qui sont à l'origine de la crise, insistant sur le fait que ces dernières étaient indispensables au fonctionnement de l'économie mondiale. "On ne va pas se priver de sauver nos banques sous prétexte qu'il y a des dirigeants qui ont mal fait leur travail", a-t-il remarqué, appelant à "arrêter toute distribution de dividendes" des banques aidées par les Etats et à "sortir" les dirigeants "s'ils ont mal fait leur boulot".


Il a aussi jugé "scandaleux" le niveau atteint par la rémunération de certains dirigeants de banques. "Il est normal que les gens plus qualifiés, qui prennent plus de risques, soient mieux rémunérés (...) mais il y a des limites aux inégalités" et il faut les corriger, notamment par la fiscalité, a-t-il prôné.


Il a aussi appelé à intensifier la concertation mondiale, en particulier en Europe, où il voit des "divergences de mise en oeuvre" dans les plans de relance entre les différents pays. En outre, "le plan que lance Obama est quand même d'une autre ampleur que ce que font les Européens", a-t-il fait valoir.


Sur la question de la réforme de la réglementation financière, il s'est dit en faveur d'une "action à la dynamite sur les paradis fiscaux", même si "un certain nombre d'Etats considèrent que ce n'est pas le plus urgent". La future réglementation devrait aussi limiter les capacités d'endettement, qui ont précipité la crise, a-t-il poursuivi. Enfin, il a appelé à "non seulement doubler les ressources du FMI" mais aussi "les ressources qu'on peut utiliser pour les pays pauvres".
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//Lien vers l'article de LaTribune.fr
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20090217trib000344950/pour-dominique-strauss-kahn-fmi-il-faut-poursuivre-lassainissement-financier.html
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lundi 16 février 2009

Déclaration d'économistes québécois - Statement by Québec economists

À lire sur le site Web:

http://antistimulus.blogspot.com/


NDCDP-Économie générale.-

La publication du lien conduisant à ce site Web ne signifie pas nécessairement que nous partagions les points de vue exprimés par ce groupe. Cette diffusion est faite dans le souci de faire ressortir les différentes opinions et arguments qui circulent, toutes les fois que nous en sommes informés.

vendredi 13 février 2009

L'année de tous les déficits

Par Gérald Fillion, Radio-Canada, 13 février 2009

Il devenait intenable de continuer à maintenir un objectif d'équilibre budgétaire à Québec. Mois après mois, les statistiques confirment un ralentissement majeur de l'économie mondiale, en particulier de celle de notre principal partenaire économique.


Cliquez sur le lien suivant pour lire l'article:
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http://www.radio-canada.ca/nouvelles/carnets/2009/02/13/115122.shtml
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